Accueil
informations forum planete bleue
CGU
les chroniques du forum planete bleue
les interviews du forum planete bleue
les focus du forum planete bleue
web tv du forum planete bleue
presse media forum planete bleue
posters du forum planete bleue
referencement du forum planete bleue
programme missions ampers
programme missions ampers
programme missions ampers

formations du forum planete bleue
forum expo du forum planete bleue
forum expo 2016 du forum planete bleue
comité d'organisation du forum planete bleue
formations du forum planete bleue
visites de sites du forum planete bleue
voyages d'etudes du forum planete bleue
formulaire de contact du forum planete bleue
inscription news forum planete bleue

Accueil

INFOS LEGALES




   Le site du Forum Planète bleue est animé et géré par AMPERS qui en exploite le contenu et qui diffuse ses informations par le biais des médias en ligne qui sont rattachés au site.


Les documents proposés à la lecture, les reportages, les chroniques, éditos, newsletters... reflètent uniquement les opinions des auteurs ou ceux de l'association AMPERS.


Les droits sur le site www.forum-planete-bleue.com sont la propriété d'AMPERS par le biais d'un CEM.


Ces droits sont réservés. Toute la documentation disponible sur ce site est proposée à nos visiteurs uniquement pour un usage personnel. En aucun cas, il n'est autorisé de reproduire, de modifier, utiliser, réutiliser le contenu du site à des fins publiques ou commerciales, y compris les textes, images, supports, sauf si l'accord préalable écrit d'AMPERS a été obtenu.


L'atteinte aux droits est passible de 2 ans de prison et 150 000 euros d'amende, le double en cas de récidive ou de convention signée avec la partie lésée, et de peines complémentaires.


La maquette des magazines du Forum Planète bleue et des magazines de synthèses proposés à la lecture sont tous protégés par le régime du droit d'auteur. Toute reproduction réédition, modification ou redistribution est totalement interdite sans autorisation écrite d'AMPERS. La cession des droits d'auteur relève de la seule décision d'AMPERS.


La maintenance et la gestion du site www.forum-planete-bleue.com sont assurés par SCAEVEN.


Le nom Forum Planete Bleue est une marque commerciale déposée à l'INPI sous le n° 4064041  et elle est protégée conformément à la législation en vigueur : Art. L.711-2 (art. 1er, loi n°91-7 du 4 janv. 1991) Art. L.711-2 (art. 2, loi n°91-7 du 4 janv. 1991) et Art. L.716-7... .


Toute utilisation non autorisée du nom Forum Planète Bleue, des logos, visuels, maquettes et supports de communication est interdite par la loi.


Toute reproduction, réédition ou redistribution par quelque moyen que ce soit, est totalement interdite par la loi sans autorisation écrite du propriétaire du site et de la marque Forum Planète Bleue.


Veuillez noter que les sites extérieurs ayant un lien hypertexte avec le présent site ne sont pas sous contrôle d'AMPERS, qui décline par conséquent toute responsabilité quant à leur contenu.


La société SCAEVEN et AMPERS n'engagent pas leur responsabilité pour les informations inexactes, erreurs de droit et opinions émises par des tiers et ne sauraient être tenues responsables d’une quelconque manière de toute utilisation qui pourrait être faite des informations accessibles sur le site www.forum-planete-bleue.com.


Le site www.forum-planete-bleue.com respecte les lois françaises sur la protection de la vie privée.


Conformément à la loi n° 78-17 du 6 Janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent. Pour exercer ce droit, écrivez à l'adresse postale ci-dessous :


Société SCAEVEN  

60, avenue de Nice

06800 Cagnes sur Mer

NOS VALEURS



   Nos trois grands principes :



1)  Ne pas engager de débats politiciens.


2)  Ne pas faire de prosélytisme religieux.


3)  Donner une information la plus objective possible.



   Nos trois convictions fondatrices :



1)  Nous croyons à la nécessité d'une fraternité entre tous les Hommes et refusons la discrimination.


2)  Nous croyons dans le perfectionnement de l'être humain et le progrès de l'humanité.


3)  Nous sommes pour une complète liberté de pensée et de conviction.




  

NOS MOYENS



   Pour vous aider, nous vous proposons de :


> Capitaliser les expériences et les savoirs faire


> Référencer les compétences


> Communiquer sur vos projets


> Mutualiser les moyens à mettre en œuvre


> Mettre en réseau des acteurs de la recherche et de l'innovation


> Aider à coordonner les partenaires


> Apporter une expertise auprès des décideurs


> Informer en toute indépendance


> Mettre en ligne des interventions et publier des documents


> Organiser des manifestations et des débats


> Organiser des rencontres en France et à l'étranger


> Proposer des formations


> Mettre à disposition une banque de données


> Mettre à disposition une plate-forme scientifique








  

NOS ACTIONS



   Nous sommes engagés dans des actions d'aide au développement économique et nous soutenons des projets de développement durable.


Nous soutenons et participons aux actions de terrain dde l'AI3D, ITWOC, FFSB, Bali Fokus.


Nous mettons en oeuvre des actions de communication pour les projets qui nous sont soumis et que nous avons validés.


Nous organisons et mettons en oeuvre des actions d'éducation et de prévention pour un vivre mieux et plus longtemps, au sein de notre environnement.


Nous organisons ou participons à des manifestations publiques dont le but est valoriser ou préserver le patrimoine culturel, sociétal ou environnemental.


Nous organisons des Forums exposition pour permettre à des structures et à des entreprises de présenter leurs compétences et leur produits.


Nous organisons des colloques et séminaires pour permettre à des associations ou à des chercheurs de communiquer sur leurs travaux.


Nous cherchons à mettre en relation les chercheurs et le monde entrepreneurial et à renforcer le dialogue entre le monde de l’entreprise et les acteurs de la vie publique.


Nous publions des recommandations, synthèses, reportages....


Nous apportons :

  


AMPERS place la réalité économique au coeur de sa réflexion.


Plateforme technique et médiatique à disposition des entrepreneurs, des sociétés et chercheurs impliqués dans le développement durable, AMPERS s'emploie à leur permettre de valoriser leurs progrès et de médiatiser l’entrepreneuriat responsable et écologique.




  

Pour être tenu(e) informé(e) des focus, des actions et projets conduits tout au long de l’année par le Forum Planète bleue, inscrivez-vous à notre newsletter mensuelle, en cliquant sur le logo ci-contre

  

COP 21 : CELLE DE LA DERNIERE CHANCE ?



La 21ème Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), ou COP 21, qui va se tenir du 30 novembre au 11 décembre 2015 sur le site de Paris Le Bourget, devrait rassembler près de 40 000 participants : délégués représentants chaque pays, observateurs, membres de la société civile...


C’est une échéance cruciale, puisqu’elle doit aboutir à un accord international sur le climat, applicable à tous les pays, dans l’objectif de maintenir le réchauffement mondial en deçà de 2°C. 


Ce sera l’une des plus grandes conférences climatiques jamais organisées à ce jour.


L’enjeu est de taille : il s’agit d’aboutir, pour la première fois, à un accord universel et contraignant permettant de lutter efficacement contre le dérèglement climatique et d’impulser/d’accélérer la transition vers des sociétés et des économies résilientes et sobres en carbone.


Comme pays hôte, occupant la présidence de la conférence, la France aura pour tache de faciliter les débats entre les pays et d'assurer un fonctionnement transparent et inclusif du processus de négociation. 

Avec pour objectif, que le futur accord traite, de façon équilibrée, de l’atténuation (c’est-à-dire des efforts de baisse des émissions de gaz à effet de serre permettant de contenir le réchauffement global à 2°C) et de l’adaptation des sociétés aux dérèglements climatiques déjà existants. Ces efforts devant prendre en compte les besoins et capacités de chaque pays.


Enfin, l’accord devra entrer en vigueur à partir de 2020 et devra être durable pour permettre une transformation à long terme.


L’ADAPTATION AUX IMPACTS DU DEREGLEMENT CLIMATIQUE


Chaque pays doit publier, dès que possible et avant la COP21, une contribution présentant ses efforts nationaux. Cet exercice constitue une grande nouveauté dans le cadre des négociations climatiques internationales. La France s’est engagée à aider les pays en difficulté dans la préparation de leur contribution, afin que chacun puisse présenter, en fonction de sa situation, une contribution nationale participant à la lutte universelle contre le dérèglement du climat. À la veille de la conférence de Paris, le secrétariat de la Convention-cadre des Nations unies rendra publique une synthèse de ces contributions, ce qui permettra de voir l’effet cumulé de tous ces efforts.


LES CONTRIBUTIONS NATIONALES CLIMAT(INDC)


Autre objectif essentiel visé à Paris : la mobilisation de 100 milliards de dollars par an par les pays développés, de source publique et privée, à partir de 2020. Cet engagement, formulé lors de la conférence sur le climat de Copenhague en 2009, doit permettre aux pays en développement de lutter contre le dérèglement climatique tout en favorisant un développement durable et juste. Une partie de ces financements transitera par le Fonds vert pour le climat, dont la première capitalisation a atteint 10,2 milliards de dollars, dont près d’un milliard abondé par la France. Plus largement, la conférence de Paris doit adresser aux acteurs économiques et financiers les signaux nécessaires à la réorientation de leurs investissements, afin d’engager la transition vers des économies bas carbone.


FINANCEMENT ET FONDS VERT CLIMAT


De nombreuses initiatives sont aujourd’hui développées par une diversité d’acteurs non-gouvernementaux : villes, régions, entreprises, associations… C’est ce que l’on appelle l'Agenda des solutions, aussi appelé Plan d'Action Lima Paris (PALP).


Depuis le sommet de New York  de septembre 2014, une dynamique positive de mise en œuvre d’actions concrètes, d’échanges de bonnes pratiques et de transferts de connaissances prend de l’ampleur. Cet ensemble viendra compléter les engagements des États, porter un message d’opportunités économiques et sociales et ainsi contribuer à renforcer l’ambition de chacun.


LE PROGRAMME D’ACTION DE LIMA A PARIS


Le Plan d’Actions Lima Paris est une initiative conjointe des présidences péruvienne et française de la COP, du Bureau exécutif du Secrétaire général des Nations Unies et du Secrétariat de la CCNUCC. Il vise à renforcer l’action en faveur du climat pendant toute l’année 2015, en décembre à Paris et au-delà :


1) En mobilisant une forte action mondiale pour s’orienter vers des sociétés résilientes et à faibles émissions de carbone.


2) En fournissant un soutien accru aux initiatives existantes, telles que celles lancées pendant le Sommet sur le Climat organisé par le SGNU à New York en septembre 2014.


3) En mobilisant de nouveaux partenaires et en créant une plate-forme pour garantir la visibilité de leurs actions, de leurs engagements et de leurs résultats pendant la période précédant la COP21.

LES POINTS DE DIVERGENCE


Si les 195 pays s'entendent sur le principe, les mettre tous d'accord autour d'un texte qui les engage relève encore de la gageure... La question des pays en développement étant le principal point d'achoppement puisque le nerf de la guerre, c'est l'argent.


Pour les pays pauvres et émergents, les pays riches sont responsables de la majeure partie des émissions de GES et par voie de conséquence, du changement climatique. Ils souhaitent donc pouvoir poursuivre leur développement et demandent aux grandes puissances de les aider financièrement à s'adapter. 


C'est l'objet du Fonds vert pour le climat, décidé en 2010, à Cancun. Destiné à aider les pays du Sud, il doit parvenir à réunir 100 milliards de dollars en 2020. Enfin, parmi les pays développés (Canada,  Australie...), certains ont toujours les plus grandes difficultés à entendre parler d'une réduction contraignante qui pourrait nuire à leur économie.

QUELQUES CHIFFRES


A l’échelle mondiale, les coûts de l’adaptation pourraient atteindre 150 milliards de dollars par an d’ici à 2030, et 500 milliards par an d’ici à 2050, si la tendance actuelle des hausses d’émissions ne s’infléchit pas, selon le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).


L’Alliance des petits États insulaires en développement, dite « AOSIS » (pour l’anglais « Alliance of Small Island States ») compte 39 États membres. Elle représente 28 % des pays en développement, et 20 % de tous les pays membres de l’ONU, mais moins de 1 % de la population mondiale.


CONTEXTE ET ENJEUX


Les travaux sur l’atténuation (c’est-à-dire la réduction des émissions de gaz à effet de serre) ont longtemps constitué le principal sujet des négociations, mais du fait notamment de la multiplication des événements climatiques et de l’augmentation récurrente des émissions de gaz à effet de serre, les questions relatives à l’adaptation aux changements climatiques occupent désormais une place de plus en plus importante. Les pays les plus vulnérables (petits États insulaires, groupe Afrique et pays les moins avancés) constituent la principale force motrice de ce sujet et soutiennent la mise en place et le financement des mesures d’adaptation.


Les différents sujets couverts par l’adaptation vont de la compréhension des impacts, aux questions relatives aux pratiques en matière d’adaptation (construction de digues, de routes surélevées, etc.), en passant par les technologies nécessaires pour mettre en oeuvre des politiques d’adaptation, le soutien à la planification ou bien encore les mécanismes de mise en oeuvre et de financement.


Il est évident que les efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre sont insuffisants pour éviter les impacts graves des changements climatiques, que ceux-ci découlent d’évènements ponctuels (inondations, tempêtes) ou à occurrence lente (élévation du niveau de la mer, acidification des océans).


Il est donc nécessaire de répondre à l’urgence, et c’est pourquoi ces sujets font désormais l’objet de travaux sous la Convention cadre des Nations unies pour les changements climatiques (CCNUCC) et sont également pris en charge par les acteurs de la gestion des risques et des catastrophes ou de l’aide humanitaire.


Le sujet de l’adaptation devra être au coeur des discussions visant l’accord de Paris et ainsi confirmer leur importance politique de premier rang de façon notamment à contribuer à un développement résilient aux changements climatiques. Cet accord pourrait notamment catalyser la mise en oeuvre et proposer des solutions concrètes pour les pays les plus vulnérables, notamment grâce à l’agenda des solutions. Les parties qui le souhaitent pouvant inclure des mesures spécifiques d’adaptation dans leur contribution nationale ou communiquer leurs besoins et efforts par d’autres canaux existants.


Pour aller  dans cette voie, la COP20 de Lima a confirmé que l’adaptation devait trouver toute sa place dans le futur accord de Paris, à parité égale avec l’atténuation.


Par ailleurs, dans le cadre du Fonds vert, il a été décidé que l’allocation des fonds se ferait à parité entre atténuation et adaptation, et qu’au moins 50 % des ressources pour l’adaptation seraient affectées aux pays les plus vulnérables, au premier rang desquelles les petites îles et les pays les moins avancés.

LES CONDITIONS D'UN SUCCES A PARIS


Pour que la COP21 à Paris soit un réel succès (et non une énième déclaration de principe) il faudra parvenir à démontrer qu'une transition vers des sociétés résilientes et peu émettrices de gaz à effet de serre est compatible avec une augmentation moyenne de température de 1,5°c à 2°c par rapport à l'ère préindustrielle, grâce à la mise en oeuvre des mesures adaptées.

Un financement pré-2020 et à long-terme devra être mobilisé par le biais de sources publiques et d’investisseurs privés, d’institutions financières internationales et d’instruments financiers innovants pour accompagner cette transition et pourvoir à des activités résilientes et à faibles émissions de carbone.


LES CRAINTES


> Les objectifs fixés permettront- ils ou non de limiter le réchauffement en dessous de 2 degrés d'ici à la fin du siècle ?


> Passées les déclarations de bonne intention, l’accord sera-t-il vraiment contraignant ?


> L’engagement des pays riches à fournir 100 milliards de dollars par an à partir de 2020 aux pays en voie de développement, sera-t-il tenu pour leur permettre d’adapter leur économie aux contraintes de la lutte contre le réchauffement climatique ?


> Les délais des engagements, à court, moyen, long terme, seront-ils assez crédibles pour que ces objectifs soient atteints ?


> Les moyens, notamment financiers, seront-ils suffisants pour rendre ces buts réalistes ?


> Enfin, l'explosion démographique mondiale qui entrainera, de facto, une augmentation de la pollution, de la consommation d'eau, des matières premières, d'espaces naturels, d'énergie... sera-t-elle l'objet d'une prise en compte dans les objectifs de l'accord ou restera-t-elle de l'ordre des sujets tabous, qui se règlent au final à coup de bombes ?


Focus au 10/09/2015

ANTICIPER LES GRAVES CRISES A VENIR


Les projections scientifiques établissent qu'un réchauffement au-dessus de 2 degrés entraînera le déplacement de 250 à 500 millions de personnes après 2050.


Or, nous ne serons pas en capacité d'accueillir ces flux de migrants climatiques, d'autant qu'ils viendront se rajouter aux flux des actuels migrants économiques.


Migrants qui divisent nos sociétés, qui modifient nos rapports à l'autre et qui interrogent nos consciences (pour l'instant ?).


Dans un monde sédentaire où la protection des frontières et la défense des cultures prennent le pas sur une ouverture à un monde qui effraie de plus en plus, cela provoquera inéluctablement des inégalités, des frustrations, du terrorisme, des guerres.

Le réchauffement climatique est un facteur multi-aggravant : il ajoute de l'inégalité à l'inégalité, de l'injustice à l'injustice, de la misère à la misère, puisque ce sont d'abord les plus vulnérables qui trinquent.


Sans compter que le coût des catastrophes climatiques a été multiplié par 200 en quarante ans. 


Comme l'a aussi et très justement rappelé, notre envoyé spécial pour la protection de la planète, Nicolas Hulot : Il s'agit d'un enjeu majeur qui concerne l'avenir de l'humanité !


D'autant plus que, quand le changement climatique affecte les rendements agricoles, les ressources halieutiques, les ressources en eau potable, on bascule de la rareté à la pénurie. Et la pénurie, tout comme la course à l'énergie, se traduisent souvent par des guerres.


Ainsi, lorsque le passage du Nord-Ouest, qui relie l'Atlantique au Pacifique via le nord du Canada, va s'ouvrir sous l'effet de la fonte des glaces, on peut imaginer les tensions géopolitiques et économiques que cela va entraîner.


Nous n'avons donc pas le choix : c'est aujourd'hui que nous devons prévenir les conflits de demain liés au climat !

Pour cela, le nouvel accord juridique sur le régime climatique de l’après 2020 - tel qu'il est prévu d'être avalisé dans le cadre de la CCNUCC - devra s’appliquer à tous, être équitable et ambitieux, répondre aux enjeux de l’atténuation et de l’adaptation aux changements climatiques de manière transparente et vérifiable, et, enfin, fournir des moyens adéquats de mise en oeuvre : financiers, technologiques et de renforcement des capacités.

 LES FOCUS             LES FOCUS              LES FOCUS              LES FOCUS            LES FOCUS             LES FOCUS