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DES ENFANTS SONT « PRE-POLLUES » A LA NAISSANCE


« L'exposition à des produits chimiques toxiques est permanente pendant la grossesse et l'allaitement et menace la reproduction de l'espèce humaine ». C’est le cri d’alarme lancé par la Fédération internationale de gynécologie et d’obstétrique (FIGO).


Certes, on se doutait que les substances chimiques auxquelles les populations sont quotidiennement exposées avaient des effets manifestes sur la santé, mais jusqu’à présent la prudence (ou le poids des lobby industriels ???) ne permettait pas de pouvoir l’affirmer.


C’est maintenant chose faite, car selon les gynécologues et obstétriciens du monde entier qui ont contribué à réaliser cette étude, les nombreux pesticides, solvants et polluants en tous genres que l’on retrouve en forte quantité dans l’air entraînent, troubles de la croissance foetale, fausses couches,  malformations congénitales, retards de développement ou encore altération des fonctions cognitives ou du développement neurologique du nourrisson. 


Cette pollution serait également responsable d’une véritable explosion des cancers de l'appareil reproducteur ces dernières années, feraient baisser de la qualité du sperme et pourrait favoriser l'hyperactivité chez l'enfant.

En cause, la présence dans de nombreux produits chimiques de perturbateurs endocriniens, comme les phtalates ou le bisphénol A. Très répandus dans l’air, ils interfèrent avec le système hormonal et peuvent donc perturber les fonctions reproductives et le développement. 


Il faut noter que c’est la première fois qu’une organisation regroupant des spécialistes de santé reproductive s’exprime sur les effets délétères de ces polluants, présents dans la chaîne alimentaire et dans l’environnement professionnel ou domestique.


D’après ces professionnels qui en appellent à une prise de conscience  mondiale, il est essentiel et urgent d’agir sur la régulation de ces polluants pour préserver l’espèce humaine.


POLLUES AVANT LA NAISSANCE


Les bébés sont à la fois les plus vulnérables et les plus exposés à cette pollution, que ce soit pendant la grossesse ou via l’allaitement.


Pendant cette période, la toxicité de l’air respiré par la mère se répercute directement sur eux, de telle sorte que les nouveaux-nés naissent de plus en plus “pré-pollués” selon Gian Carlo Di Renzo, l'auteur principal de l'appel à réagir du FIGO.


Rappelons que beaucoup de produits chimiques ont la capacité de franchir de grandes distances depuis leur lieu d’origine ou d’utilisation, que ce soit par la pollution de l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, la nourriture que nous mangeons et les produits quotidiens (produits de beauté, certains plastiques...) que nous touchons et utilisons. Une partie de ces produits résistent à la transformation métabolique et à l’excrétion, ou se transforment en dérivés nocifs qui s’accumulent surtout dans les tissus adipeux pour s’intégrer à notre charge corporelle chimique. D’autres agissent aussi comme agents endocriniens perturbateurs et peuvent endommager l’appareil génital.


Cependant, le plus grand impact des polluants survient avant la naissance, quand le fœtus traverse des stades critiques de développement, sachant que des doses infimes de résidus chimiques peuvent avoir des conséquences graves sur le développement du petit être en formation. Par ailleurs, des niveaux de mercure qui auraient des répercussions minimes ou nulles sur un adulte peuvent aussi endommager le développement prénatal du cerveau l'enfant. Des quantités minimes de dioxines et de BPC peuvent endommager le développement du système immunitaire et nerveux et le phtalate DEHP peut perturber le développement de l’appareil génital masculin. Enfin, les polluants et les métaux lourds pénètrent facilement le placenta et certains s’infiltrent aussi dans le lait maternel.


A noter que la prise de position de la FIGO (125 sociétés nationales de gynécologie et d’obstétrique) rejoint celle, publiée deux jours plus tôt, de l’Endocrine Society. Pour cette société savante (18 000 chercheurs et cliniciens spécialisés dans l’étude du système hormonal), l’exposition aux polluants de l’environnement est aussi mise en cause dans plusieurs maladies émergentes : diabète de type 2, obésité, cancers hormonodépendants (sein, prostate, thyroïde) et troubles neuro-comportementaux (troubles de l’attention, hyperactivité, etc.).

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AUGMENTATION SIGNIFICATIVE DES PATHOLOGIES


Le rapport de l’Endocrine Society est le deuxième du genre. Dès 2009, la société savante avait rassemblé les éléments disponibles dans la littérature scientifique et fait état de ses inquiétudes. Cette nouvelle édition renforce le constat précédent. « En particulier, depuis 2009, les éléments de preuve du lien entre exposition aux perturbateurs endocriniens et troubles du métabolisme, comme l’obésité et le diabète, se sont accumulés, alerte la biologiste Ana Soto (Tufts University à Boston, Ecole normale supérieure), coauteure de la précédente version du rapport. Et il faut noter que rien de ce qui était avancé en 2009 n’a dû être retiré ou revu à la baisse. Tout ce que nous suspections à l’époque a été confirmé par les travaux les plus récents. »


La part prise par l’exposition aux substances chimiques toxiques dans l’augmentation d’incidence de certains troubles ou maladies - obésité, cancer du sein, de la prostate, etc. - ne peut être précisément quantifiée. Mais la société savante rappelle que ces pathologies, en lien avec le dérèglement du système hormonal, sont toutes en hausse inquiétante.


Peu de temps auparavant (fin septembre), Pesticide Action Network (PAN Europe), une ONG sise à Bruxelles, rappelait qu’une dizaine de pesticides catégorisés comme perturbateurs endocriniens par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) étaient actuellement examinés par la Commission européenne, afin d’être autorisés ou réautorisés sur le marché européen. Or, à l’heure actuelle, il n’existe pas de définition réglementaire stricte de ces substances : l’exécutif européen devait au plus tard établir une telle définition en décembre 2013, mais a cédé sous les pressions de l’industrie et a repoussé sine die la mesure....


RETARDS ET MALFORMATIONS CHEZ L'ENFANT


La dégradation de l’environnement a-t-elle des effets mesurables sur la santé des enfants ? Deux études françaises le suggèrent de nouveau, avec des manifestations allant de l’altération des capacités intellectuelles à la fréquence de certaines malformations congénitales. La première, rendue publique mardi 9 juin et publiée dans la dernière édition de la revue Environment International, a consisté à chercher les effets de l’exposition à une famille courante d’insecticides - les pyréthrinoïdes - sur les facultés cognitives de jeunes enfants.


Ces travaux, conduits par Jean-François Viel (CHU de Rennes, Inserm) et Cécile Chevrier (Inserm), ont utilisé les données du suivi d’environ 3 500 couples mère-enfant depuis 2002. Les auteurs ont d’abord tenté de mettre en relation le niveau d’exposition de la mère à des pyréthrinoïdes, au cours de sa grossesse, avec les capacités intellectuelles de l’enfant à l’âge de 6 ans. « Nous avions une hypothèse assez forte sur un lien entre l’exposition prénatale de l’enfant et son développement neuropsychologique, mais nos données ne montrent rien de tel, explique Cécile Chevrier. Nous ne trouvons aucun lien. »


Par contre, le lien apparaît lorsque les pyréthrinoïdes sont recherchés chez les enfants eux-mêmes, à l’âge de 6 ans. Le jour de la réalisation des tests d’aptitudes conduits dans le cadre de l’étude, les enfants les plus exposés à ces insecticides présentaient des capacités de mémorisation et de compréhension verbale significativement inférieures aux autres. Alors que l’exposition in utero ne semble pas avoir eu d’effets sur la cognition, l’exposition directe des enfants dégrade leurs facultés cognitives.


Et ce, précise Jean-François Viel, « une fois pris en compte de nombreux facteurs de confusion », comme la catégorie socioprofessionnelle des parents, la durée moyenne de sommeil, le temps quotidien passé devant la télévision ou les jeux vidéo, etc.

LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS


Si le tabac et l'alcool sont géneralement montrés du doigt, les perturbateurs endocriniens - molécules présentes dans de nombreux produits et qui déséquilibrent le système hormonal - sont aussi mis en accusation. 


«Les preuves des dégâts sanitaires des perturbateurs endocriniens sont plus définitives que jamais», estime Andrea Gore, professeur de pharmacologie à l’Université du Texas, à Austin, qui a présidé le groupe de scientifiques chargés de rédiger la déclaration de l’Endocrine Society. Des centaines d'autres d’études pointent dans la même direction, que ce soit des études épidémiologiques menées à long terme sur des humains, des études menées sur l’animal ou sur des cellules, ou encore sur des groupes de personnes exposées dans leur métier à des produits spécifiques.

  

D’où proviennent ces expositions ? L’étude ne le dit pas. Le lien est souvent fait avec l’agriculture, mais plusieurs travaux suggèrent que l’environnement domestique est une source importante d’exposition à ces produits, qui entrent dans la composition d’insecticides ménagers, de lotions antipoux, de produits antiparasitaires pour les animaux domestiques, etc. »


Dans une étude rendue publique lundi 8 juin et tout juste publiée dans European Urology, une autre équipe de chercheurs et de cliniciens, menée par Nicolas Kalfa et Charles Sultan (CHU de Montpellier), a de son côté cherché à évaluer l’impact des pollutions environnementales sur le risque d’hypospadias. Cette malformation congénitale du pénis étant un défaut de positionnement de l’urètre, qui nécessite un acte chirurgical peu après la naissance.


Elle toucherait environ 3 garçons sur 1 000, avec de fortes disparités régionales, et sa fréquence tend à augmenter.

CHUTE SPECTACULAIRE DE LA QUALITE DU SPERME


L'alerte est sérieuse ! Le sperme des Français contient de moins en moins de spermatozoïdes. Selon une vaste étude française mise en ligne mercredi 5 décembre sur le site de la revue Human Reproduction, la concentration en spermatozoïdes a chuté de près d'un tiers entre 1989 et 2005. En moyenne, elle reste toutefois au-dessus des seuils définissant l'infertilité masculine.


Pour expliquer ces résultats, le rôle des perturbateurs endocriniens - bisphénol A, phtalates, PCB, etc. - est évoqué.


Le déclin de la qualité du sperme est un sujet qui donne lieu à controverse depuis des années : les études épidémiologiques conduites dans les pays développés présentent en effet parfois des résultats discordants. Il n'en reste pas moins que l'hypothèse d'un rôle joué par les perturbateurs endocriniens est de plus en plus confortée par les données biologiques et toxicologiques. Qu'elles soient issues de l'expérimentation sur l'animal ou des expositions humaines aux perturbateurs, notamment in utero.


Les effets de ces expositions in utero ou sur les nourrissons ont aussi des répercussions sur la fertilité ultérieure des individus. En France, environ 15 % des couples en âge de procréer consultent pour infertilité, selon un rapport récent de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de l’Agence de la biomédecine sur les troubles de la fertilité. Et le nombre de couples ayant recours aux techniques de procréation médicalement assistée ne cesse de croître, « très probablement en raison de modifications environnementales, notamment l’exposition à certains toxiques comme le tabac et/ou à certains perturbateurs endocriniens ».


Les informations qui remontent des cabinets de consultations établissent un constat pour le moins préoccupant : qualité du sperme qui s'effondre et recrudescence du syndrome des ovaires micropolykystiques (cause importante de l’infertilité, de l’endométriose, qui touche des femmes de plus en plus jeunes).


LES BEBES CONTAMINES PAR LA DIOXINE


Rappelons que de le contenu de nombreux rapports précédents préfiguraient déjà l’étude menée par la FIGO.


Par exemple, un rapport de recherches menées par des laboratoires indépendants et l'agence fédérale de protection de l'environnement (EPA) montre que la dioxine, un polluant dangereux que l'on trouve notamment dans les sols et les sédiments, entre dans le corps des nourrissons à des niveaux beaucoup plus élevés que ce que l'EPA estime comme acceptable.


Selon l'Union Européenne, les dioxines sont " essentiellement des "sous-produits non intentionnels" de réactions chimiques et de procédures de combustion. Les dioxines sont plus toxiques que les PCB, mais les quantités de PCB libérées dans l'environnement sont plus importantes. La consommation d'aliments est la principale voie d'exposition de l'homme à ces substances. Or, le cancer n'étant pas le seul effet des dioxines, il n'est donc pas nécessairement l'effet principal à considérer puisque les dioxines peuvent aussi entraîner des troubles cognitifs, l'immunosuppression, l'endométriose....


La dioxine est un cancérigène connu et un perturbateur du système endocrinien, produit principalement lors des procédés de combustion comme l'incinération des déchets, la combustion des déchets ménagers, la métallurgie et des procédés industriels y compris la fusion, le blanchiment du papier sans chlore et la fabrication des pesticides. Ce polluant, qui possède une action toxique rémanente et un grand pouvoir de bioaccumulation dans la chaîne alimentaire, se trouve partout dans l'environnement et chez les individus.


Or, une fois que les dioxines ont pénétré dans l'organisme, elles s'y maintiennent longtemps à cause de leur stabilité chimique et de leur capacité à être absorbée par les tissus adipeux, dans lesquels elles sont stockées. Ainsi, on estime que leur demi-vie - c'est à dire le temps nécessaire pour perdre la moitié de son activité dans l'organisme - va de sept à onze ans. Dans l'environnement, elles tendent à s'accumuler dans la chaîne alimentaire. Et "plus on monte dans cette chaîne, plus les concentrations en dioxines augmentent ", note l'OMS qui a évalué la dose journalière admissible (DJA) entre 10 à 12 g/jour/kilo de poids.


Pour terminer, selon l'association de défense de l'environnement américaine EWG, l'exposition débuterait dans l'utérus lorsque les dioxines traversent le placenta et lorsque les nouveau-nés commencent à les ingérer des les premiers jours de leur vie dans le lait maternel ! Pour preuve, les recherches ont révélé que la quantité de dioxines qu'un nourrisson ingère quotidiennement est jusqu'à 77 fois plus élevé que le niveau que l'EPA a proposé pour protéger les systèmes endocriniens et immunitaires.


LES ENFANTS CONTAMINES PAR LES PESTICIDES


C’est ce qui semble apparaitre au vu d’une étude menées par Générations futures (association loi 1901, agréée par le Ministère de l’Ecologie) qui a fait prélever, par leurs parents, des mèches de cheveux de 30 enfants résidant dans des zones maraîchères, près de champs de céréales, près des vignes, bref dans des zones agricoles.


L’objectif : faire analyser - par un laboratoire indépendant - les pesticides contenus dans les cheveux des bambins. Les résultats sont sans appel : 80% des enfants ont été exposés à des pulvérisations de pesticides à usage agricole. Sur les 30 échantillons, on trouve 624 résidus de pesticides suspectés d’être des perturbateurs endocriniens, (c’est à dire agissant sur le développement hormonal), soit 21, 52 résidus par échantillon.  Et ce n’est pas tout : l’analyse a également montré l’existence de treize substances interdites en agriculture. Certes, l’étude n’a pas de valeur statistique significative (trop peu d’échantillons analysés), mais elle a le mérite d’alerter sur un problème à la fois écologique, économique, et de santé publique.


Une autre association, l’Environmental working group, un groupe de recherche américain, vient par ailleurs de publier sa liste annuelle des fruits et légumes qui contiennent le plus de pesticides : en tête la pomme, avec plus de vingt traitements différents, mais aussi la poire, le raisin, la fraise, la cerise, et les végétaux élevés sous serre, tomate, carotte et salade.

  

L'ALLAITEMENT MATERNEL


Les produits chimiques s’accumulent dans plusieurs parties du corps, notamment le tissu adipeux (conjonctif), le cerveau, les os, le sang, le foie, le placenta et le sperme, ainsi que dans le lait maternel.


Pour autant, les dommages surviennent surtout avant la naissance, car la  plupart des effets des résidus chimiques sur la santé du nourrisson sont associés à une exposition avant la naissance, par les dommages causés au sperme du père ou lorsque l’enfant est dans l’utérus, plutôt que par le lait maternel.


Sachant que le lait maternel peut permettre de limiter les dommages causés par l’exposition fœtale, puisqu’il contient des substances qui permettent à l’enfant de développer un système immunitaire plus fort et qui offrent une protection contre les polluants et les agents pathogènes de l’environnement.

Il est indénibale que l’allaitement, malgré les faibles risques pour la santé associés au taux moyen de résidus chimiques présents dans le lait maternel lié à des niveaux plus bas d’exposition aux produits chimiques toxiques profite à tous, en particulier au fœtus en développement et au nourrisson allaité.


DES ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE


Après la publication, en 2012, du rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), ces deux nouvelles publications creusent un peu plus le fossé qui sépare l’état des connaissances et celui de la réglementation. Celle-ci ne reconnaît toujours pas l’existence de certaines substances - dites « perturbateurs endocriniens » - capables d’interférer avec le système hormonal et d’agir à des niveaux d’exposition très faibles, inférieurs aux seuils réglementaires.


Or, près de 800 substances chimiques environnementales sont connues ou suspectées d’interférer avec les récepteurs hormonaux, la synthèse ou la conversion des hormones », soulignait déjà, en 2012, le rapport de l’OMS et du PNUE.


Il est maintenant démontré que - quel que soit notre lieu de résidence ou notre mode de vie - personne ne peut éviter d’être exposé à une grande variété de produits chimiques et de transmettre cette charge corporelle chimique à la génération suivante. Et il est maintenant démontré que les enfants présentent un risque plus élevé que les adultes en raison de leur développement rapide et d’une consommation plus grande de nourriture en fonction de leur poids.


Or, le seul moyen de réduire leur charge corporelle consiste à éliminer la production et l’utilisation de produits chimiques dangereux et de les remplacer par des produits chimiques et d’autres produits moins nocifs !


Question : la sante de nos enfants et la survie des prochaines générations auront-elles maintenant plus de poids que les intérêts financiers des multinationales et autres pollueurs, qui pratiquent le chantage à l'emploi à défaut d'apporter des solutions acceptables ?

 


Focus au 14/10/2015